Nouvel horizon
Darling tonight is a new night in our live.
Tu sais bien que parfois je veux juste respirer.
Je ne suis pas accro au boulot, aux contraintes, aux petites choses du quotidien qui nous forcent toujours à errer dans nos habitudes.
Je ne suis pas accro à nous, aux silences, ni aux allusions étranges, ni aux regards fuyants.
Je ne suis pas loin de ce que j'aimerai être
Pas loin de ce que je suis vraiment.
Pas loin de toi aussi
Je ne suis pas femme facile, à comprendre à aimer
Suis-je femme ou juste âme à vif sur le fil
Funambule de la vie, je m'en amuse, trouver, balancer petit à petit
Ma vie, nos certitudes
Je m'en balance de nos errances, je m'en fout de nos pleurs, nos déceptions
Je ne sais pas où j'étais quand ils sont passés
J'étais là, mais si loin de tout ça
Pour une fois je crois que je n'avais pas envie de comprendre, d'excuser, de passer l'éponge
J'avais besoin d'exigence, d'exclusivité, de passion dans les sentiments, les amitiés, les connaissances.
J'avais besoin de sourires, et jamais je ne me serais satisfaite de moins.
J'avais besoin de voir loin avec toi, de voir où j'irai seule avec mes pas, mes idées.
Jamais vraiment perdue, jamais vraiment de crainte.
Lassitude des erreurs d'autrui, nostalgique nuit de nos rencontres
Un soir, je vous ai croisé sur mon chemin, j'ai tendu mes mains vers vous.
Vous les avait prises, et en un éclat de rire nous étions vraiment humains.
Crois-tu que la réalité me satisfait, me plaît. Ma réalité est belle, bouleversante de lucidité, touchante et merveilleuse. Mes voyages sont lointain, mes limites inexistantes, j'ai vu tant de regards, je me souviens de tout, de tous, où étiez-vous ?
Que regardez-vous aujourd'hui, que jugez-vous ? Que connaissez-vous ?
Crois-tu que je me lasse de la beauté d'une vie ?
Crois-tu que je t'en veux de tes limites, tes décisions inconscientes ?
Je te plains parfois de ne pas ressentir ce que la vie t'offre, je me plains de parfois être seule à percevoir un monde plein de couleur, fluctuant.
Crois-tu que j'arrêterais de valser, de bouger ?
Crois-tu que j'aurai peur ?
Crois-tu me connaître ?
Je ne peux que te surprendre, ce que tu vois n'est pas ce qui est là.
Tu sais bien que parfois je veux juste respirer.
Je ne suis pas accro au boulot, aux contraintes, aux petites choses du quotidien qui nous forcent toujours à errer dans nos habitudes.
Je ne suis pas accro à nous, aux silences, ni aux allusions étranges, ni aux regards fuyants.
Je ne suis pas loin de ce que j'aimerai être
Pas loin de ce que je suis vraiment.
Pas loin de toi aussi
Je ne suis pas femme facile, à comprendre à aimer
Suis-je femme ou juste âme à vif sur le fil
Funambule de la vie, je m'en amuse, trouver, balancer petit à petit
Ma vie, nos certitudes
Je m'en balance de nos errances, je m'en fout de nos pleurs, nos déceptions
Je ne sais pas où j'étais quand ils sont passés
J'étais là, mais si loin de tout ça
Pour une fois je crois que je n'avais pas envie de comprendre, d'excuser, de passer l'éponge
J'avais besoin d'exigence, d'exclusivité, de passion dans les sentiments, les amitiés, les connaissances.
J'avais besoin de sourires, et jamais je ne me serais satisfaite de moins.
J'avais besoin de voir loin avec toi, de voir où j'irai seule avec mes pas, mes idées.
Jamais vraiment perdue, jamais vraiment de crainte.
Lassitude des erreurs d'autrui, nostalgique nuit de nos rencontres
Un soir, je vous ai croisé sur mon chemin, j'ai tendu mes mains vers vous.
Vous les avait prises, et en un éclat de rire nous étions vraiment humains.
Crois-tu que la réalité me satisfait, me plaît. Ma réalité est belle, bouleversante de lucidité, touchante et merveilleuse. Mes voyages sont lointain, mes limites inexistantes, j'ai vu tant de regards, je me souviens de tout, de tous, où étiez-vous ?
Que regardez-vous aujourd'hui, que jugez-vous ? Que connaissez-vous ?
Crois-tu que je me lasse de la beauté d'une vie ?
Crois-tu que je t'en veux de tes limites, tes décisions inconscientes ?
Je te plains parfois de ne pas ressentir ce que la vie t'offre, je me plains de parfois être seule à percevoir un monde plein de couleur, fluctuant.
Crois-tu que j'arrêterais de valser, de bouger ?
Crois-tu que j'aurai peur ?
Crois-tu me connaître ?
Je ne peux que te surprendre, ce que tu vois n'est pas ce qui est là.
Commentaires
C'est le jour de notre naissance
et un symbole de notre romance
Je ne suis pas du genre à lire des romans
encore moins à les écrire. Mais en écrivant
C'est quelques lignes, j'espère pouvoir te dire...
Tu la constaté, j'écris peu mais tu sais également
que quand j'écris c'est que cela est important.
Il y a des choses qui sont plus simple ainsi.
"Je t'aime". Je le dit à tous bouts de champs.
Quand tout va bien, et quand tout va mal,
Tellement souvent, a en devenir insignifiant.
Peut être, je ne sais pas si c'est deux mots,
On encore cet effets magiques si spécial
Peut être est-il devenu une ponctuation... Dans ma bouche...
Oui, tu es inquiètes, triste et même en souffrance.
Ces gens sont idiots de pas te connaitre comme tu es.
Leur jugement trop hâtif et leur esprit est rance.
Je, moi, et moi seul est LE dénominateur à tout ça.
Je suis l'origine première de tes malheurs.
Sans moi souffrirai tu autant? ça aurais été comme ça?
A pleurer des larmes qu'il ne mérite pas.
A penser à des choses que tu ne veux pas.
Que puis je faire pour t'aider?
Enlever ce monde de ta vie? le faire disparaitre
d'une façon radicale? Pour ne jamais y avoir été.
Car vois tu mon amour. Si je n'avais jamais existé
Tu ne te serais jamais retrouvé à pleurer...
Sec ou humide, le vent peut être
Il peut sembler froid ou chaud
Même ressentie à 2 centimètre
Le vent souffle, c'est la seule vérité
mais entre le deux, lequel apprécié?
A choisir entre le bon et le mauvais...
Je choisie ma vie, mon illusion
La vérité est que le vent souffle
Et je choisie que le vent, c'est bon.
Surtout avec du pain, du beurre et du jambon!