Les cavernes recèlent

C'est quand je décèle en toi, des idées d'ailleurs
Que je te veux
C'est quand je devine en toi, des moments meilleurs
Que je te veux
C'est comme une envie d'amour, des souffles et des jours
Qui passent au rythme de tes alentours
Oh mon amour
C'est quand tu t'éloignes de moi que je me rapproche
je te veux
C'est quand tes yeux se distancent que je m'accroche
A ce que je veux
Et si jamais tu partais j'accèlérerai le rythme, le rythme
Et si jamais tu décidais de sombrer ensuite, ensuite

Je prendrai mes fanstasmes, mes idées, mes envies
Je prendrai tes caresses, tes regards, tes mots doux
J'en ferai un pansement sur mon coeur endolori
J'inventerai un ailleurs plaisant pour les coeurs meurtris

C'est quand, je t'adresse mes discours
Mal appris
C'est quand mes faiblesses ressurgissent
Du fond de la nuit
C'est comme une envie de comprendre, de détendre
Ces cordes qui me serres en accords
Oh mon amour
C'est quand je ne m'entend pas
Quand mes pensées sombrent
Dans des réalités sans nom
C'est quand même mes songes
Deviennent plus durs que les idées
des optimistes,
idéalisées, les vies si tristes

Je pars ailleurs
Vers des mondes pas meilleurs
Juste différents, en attendant

Je pars ailleurs
Vers des mondes pas meilleurs
Juste inconnus, pour ce qui mue

Je prendrai mes fanstasmes, mes idées, mes envies
Je prendrai tes caresses, tes regards, tes mots doux
J'en ferai un pansement sur mon coeur endolori
J'inventerai un ailleurs plaisant pour les coeurs meurtris

On s'excuse, on se désole, on craint ou on fuit
On pardonne, on peut pas, on s'en fout, on s'ennuit
On se cherche et on trouve des "on" si différents
De ce qu'on espérait mais c'est une surprise pourtant......on.