Sans dis, dis moi

Sandy dis moi pourquoi dans tes songes
tu prévois les mois qui me ronge
Sandy sans dire à quel point tu es loin
Tu prendrais l'avion du jour au lendemain
Mais Sandy, sans dire pourquoi la vie t'oubli
Dans des recoins près des poupées vieillies
Sandy pourquoi, la vie s'en va, sans toi
Sans tes souvenirs qui s'oublient de ta mémoire

Sandy dis moi pourquoi quand tes yeux se fixent
tu as déjà vu ces instants sans savoir comment
Sandy tu m'oublie quand je parle de nous,
De nos instants fougueux de nos rires nerveux
De nos souvenirs, qui sans sourire s'en vont
De ton visage figé dans mes yeux d'enfants

Mais Sandy dis moi pourquoi la vie t'oublie
Pourquoi je te sens perdue dans un monde
Qui ne te correspond plus,
Mais Sandy dis moi pourquoi ton coeur se vide
Se déchire et ne se comprend plus
Dans des photos où tu ne te vois plus

Sans dire, dis moi, Sandy, part pas
Si tu pouvais crier retenir tes souvenirs
Sans dire, dis moi Sandy, reste là
si je pouvais te dire à demain sans frémir...
Ma Sandy, sans dire merci ni adieu sans
chercher ailleurs ce qui est mieux sans
vouloir te dire que ça ira mieux
demain
Ma Sandy, sans dire que jamais on ne t'oublie
Que déjà tu es dans ta tête partie
On n'y pourra rien mais on te dis
à demain...

Commentaires

Anonyme a dit…
comme c'est beau la poésie.
T'es balèze quand meme
Tu sais, t disai que tu n'a pas une ecriture comme les autres
Tu as raison..t'es unique

bisou
fiona
Sokola a dit…
Coucou fiona !

Merci je suis contente que tu aimes ce que j'écris, toi aussi l'écriture te plait et te fais du bien, il faut que tu continues.

J'espère te voir plus souvent laisser tes impressions sur ce blog
Anonyme a dit…
moi jaime osi mais surtt je pense kil fodrai rendre omage a la mémé ki é en toff !
car peu de gen le savent mais en droit français, les grands-parents ont vocation à succéder à leurs petits-enfants dans certains cas. Cela suppose qu'ils survivent au décès du petit-enfant. Que ce dernier n'a pas de descendance ni de frère et sœur, et que son parent, enfant des grands-parents, soit prédécédé. En application de la théorie de la fente, les grands-parents recueillent la part revenant à la branche, paternelle ou maternelle, qu'ils représentent, c'est-à-dire la moitié (article 737 du Code civil français).

L'autre moitié de la succession est recueillie part l'autre branche de la famille, à moins qu'il n'y ait pas d'ascendant dans celle ci. Dans ce cas, les grands-parents en question recueillent toute la succession et évincent les collatéraux (article 748 alinéa 3 du Code civil).
Sokola a dit…
Et le pire c'est que c'est vrai !
Anonyme a dit…
Si seulement nous pouvions tous et toutes etre poete dans l'ame et "grab your pencil" pour ecrire ce qui reste enfermee en nous .
J'aimerais tant m'inspirer de ses fabulseuses paroles et en faire de meme ....
Anonyme a dit…
Les mots meme sont la preuve de notre Libertee de pensee ....je le clame donc tout haut !!!!Gloire aux mots !!!!!

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