RRRrrrrragggghhhh !
Quel est ce cri, un cri de rage
J'enrage de vous, à cause de vous, à cause de toi. Non, mais j'attendais patiemment et rien ne vint. Je suis partie après une heure et demie d'attente dans le noir d'un couloir sans issus. J'ai fait un tour, je suis passé là où le soleil m'embrassait de ses rayons réconfortants. J'ai tourner autour, j'ai rodé dedans. Mais rien à voir, rien à dire. J'aurais pu dormir là devant ces éléments clos si la rage ne m'avait pas redonner le courage de marcher. Alors malgré mon hémoragie, malgré ma fatigue, malgré ma rage, malgré mon mal j'ai marché. Le regard bas comme le soleil qui doucement me rattrapait, quel est l'erreur ? De vouloir te connaître, de ne pas me connaître... Je me soule de lignes, je les avale, quelques mots impriment mon esprit, plaisir, secret, cerveau.Et cette lumière qui s'éteint sans cesse dans cette impasse froide. Est-ce que je vois la corde qui s'approche et s'éloigne au gré du vent ? Oui je l'ai vu et je l'ignore mais elle, m'a vu. Alors maintenant dis moi quoi faire, ça ne m'est plus égal là je veux savoir. Le savoir amène le pouvoir alors permet-moi d'être maîtresse de moi, de mon devenir, permet-moi d'être forte, je ne veux plus être fragile il n'y a pas de place pour les faibles et je veux avoir une place en toi, dans un endroit reculé de ton cerveau, juste assez présente pour que tu ne m'oublie jamais, pas assez présente pour que tu ne pense pas à moi. Permet moi d'aimer, j'aime tellement de gens, il ne le savent même pas mais je le sais moi, alors permet-moi de t'aimer aussi, sinon je n'existe plus, je m'efface, je deviens transparente, inexistance, inconsistante, suis-je faite d'amour ?
J'enrage de vous, à cause de vous, à cause de toi. Non, mais j'attendais patiemment et rien ne vint. Je suis partie après une heure et demie d'attente dans le noir d'un couloir sans issus. J'ai fait un tour, je suis passé là où le soleil m'embrassait de ses rayons réconfortants. J'ai tourner autour, j'ai rodé dedans. Mais rien à voir, rien à dire. J'aurais pu dormir là devant ces éléments clos si la rage ne m'avait pas redonner le courage de marcher. Alors malgré mon hémoragie, malgré ma fatigue, malgré ma rage, malgré mon mal j'ai marché. Le regard bas comme le soleil qui doucement me rattrapait, quel est l'erreur ? De vouloir te connaître, de ne pas me connaître... Je me soule de lignes, je les avale, quelques mots impriment mon esprit, plaisir, secret, cerveau.Et cette lumière qui s'éteint sans cesse dans cette impasse froide. Est-ce que je vois la corde qui s'approche et s'éloigne au gré du vent ? Oui je l'ai vu et je l'ignore mais elle, m'a vu. Alors maintenant dis moi quoi faire, ça ne m'est plus égal là je veux savoir. Le savoir amène le pouvoir alors permet-moi d'être maîtresse de moi, de mon devenir, permet-moi d'être forte, je ne veux plus être fragile il n'y a pas de place pour les faibles et je veux avoir une place en toi, dans un endroit reculé de ton cerveau, juste assez présente pour que tu ne m'oublie jamais, pas assez présente pour que tu ne pense pas à moi. Permet moi d'aimer, j'aime tellement de gens, il ne le savent même pas mais je le sais moi, alors permet-moi de t'aimer aussi, sinon je n'existe plus, je m'efface, je deviens transparente, inexistance, inconsistante, suis-je faite d'amour ?
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