PoLloCk
Jackson Pollock, mystérieux coléreux
manque de confiance triste austère impulsif alcoolique génie maîtrise
Lee, attentive jalouse ouverte amoureuse
Ed Harris dans le film portant son nom, réussi à intérieurement nous montrer qui était Pollock.
Lorsque l'atmosphère est si exceptionnelle, que l'on aime ou pas, on ne ressort pas indifférent. Pollock, comme un homme condamné et damné par lui même, par ce qu'il est. L'on ose croire à un coup du destin, un revirement de situation mais non...
Lee se trouve si amoureuse de cet homme et aussi de ce peintre, comme si les deux entités étaient parfois éloignées. Il y a quelque chose en lui qui le détruit et qui détruit ceux qui l'entoure. Il est capable d'absolument tout détruire, sauf.....son Art.
Et malgré toutes ses choses, ses comportements trop blessants, son caractère odieux et égoïste, on ne peut s'empêcher de l'apprécier. Mélange de compassion et d'affection, l'on reconnaît l'artiste en lui qui ne trouvera jamais la paix. Mais son destin est scellé, et il essaie de croire à ce qui l'a déjà échappé.
" A la fin de sa vie, Pollock était dans une telle agonie émotionnelle qu'il n'arrivait même plus à peindre. [...] Il y avait une telle colère en lui, une telle amertume. Un tel vide. Un vide qu'il n'a jamais réussi à remplir, malgré la reconnaissance du public, malgré l'amour de Lee." "Certains artistes commettent l'erreur de se fabriquer leur propre souffrance, et je pense qu'il y a asse de raisons de souffrir pour ne pas s'en inventer. vivre, c'est souffrir. Cette douleur est peut-être ressentie de manière plus aiguë par l'artiste, qui est un être sensible par définition." [ Ed Harris]
manque de confiance triste austère impulsif alcoolique génie maîtrise
Lee, attentive jalouse ouverte amoureuse
Ed Harris dans le film portant son nom, réussi à intérieurement nous montrer qui était Pollock.
Lorsque l'atmosphère est si exceptionnelle, que l'on aime ou pas, on ne ressort pas indifférent. Pollock, comme un homme condamné et damné par lui même, par ce qu'il est. L'on ose croire à un coup du destin, un revirement de situation mais non...
Lee se trouve si amoureuse de cet homme et aussi de ce peintre, comme si les deux entités étaient parfois éloignées. Il y a quelque chose en lui qui le détruit et qui détruit ceux qui l'entoure. Il est capable d'absolument tout détruire, sauf.....son Art.
Et malgré toutes ses choses, ses comportements trop blessants, son caractère odieux et égoïste, on ne peut s'empêcher de l'apprécier. Mélange de compassion et d'affection, l'on reconnaît l'artiste en lui qui ne trouvera jamais la paix. Mais son destin est scellé, et il essaie de croire à ce qui l'a déjà échappé.
" A la fin de sa vie, Pollock était dans une telle agonie émotionnelle qu'il n'arrivait même plus à peindre. [...] Il y avait une telle colère en lui, une telle amertume. Un tel vide. Un vide qu'il n'a jamais réussi à remplir, malgré la reconnaissance du public, malgré l'amour de Lee." "Certains artistes commettent l'erreur de se fabriquer leur propre souffrance, et je pense qu'il y a asse de raisons de souffrir pour ne pas s'en inventer. vivre, c'est souffrir. Cette douleur est peut-être ressentie de manière plus aiguë par l'artiste, qui est un être sensible par définition." [ Ed Harris]
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