Veille
Il y a des jours où l'on est en veille, en attente
Il y a des vies où l'on sombre doucement
Je nous vois sombrer mes amis, dans cet abîme incertain
La pensée créer autant qu'elle détruit
Elle sublime autant qu'elle suicide
On a longtemps dit que les artistes étaient maudits
J'ai longtemps cru qu'ils s'agissaient de destin
J'ai comprends aujourd'hui qu'il s'agit de leur âme
Un poison lent et silencieux prend l'ascendant sur eux
On ne l'entend pas, on ne le comprends pas
On l'aperçoit dans des regards
Dans la profondeur des désespoirs
L'artiste attend, l'artiste espère et quand il oublie, il se perd
L'artiste souffre, de ce qu'il veut et se lasse de ce qu'il a
Il pense souvent, des obsessions
Il meurt l'espace d'un instant
La mélancolie, la poésie, le spleen et autre idées colorées
Car le noir aussi est une couleur que l'on peint parfois
Je vois en gris et en nuance, en aura et en substance
Je perçois tout et aussi trop,
La sensibilité mon talon d'Achille
L'attachement déraisonné, ma vie au monde
Quel poids, quelle contrainte.
Je rêve ma vie, le jour je nuis, l'hiver la terre pleure sur nos cris
Je nous vois sombrer dans un abîme
Quand la terre hurle, mes griffes s'acèrent
Quand la terre perle, mes pleurs m'achèvent
Quand la vie part, mon corps m'échappe
Quand mon coeur tremble, mes yeux s'attristent
Je te l'ai dit, j'ai peur de rien, je ne crains plus rien
Je fonce toujours, j'accours, j'm'entoure
Mais au final, je t'ai menti,
Je crois bien que je crains l'oubli
On meurt tout seul au fond je sais
On ne vit jamais assez aimé
Il y en a qui disent beaucoup mais font peu
Moi j'écris beaucoup et je vis tout.
Il y a des vies où l'on sombre doucement
Je nous vois sombrer mes amis, dans cet abîme incertain
La pensée créer autant qu'elle détruit
Elle sublime autant qu'elle suicide
On a longtemps dit que les artistes étaient maudits
J'ai longtemps cru qu'ils s'agissaient de destin
J'ai comprends aujourd'hui qu'il s'agit de leur âme
Un poison lent et silencieux prend l'ascendant sur eux
On ne l'entend pas, on ne le comprends pas
On l'aperçoit dans des regards
Dans la profondeur des désespoirs
L'artiste attend, l'artiste espère et quand il oublie, il se perd
L'artiste souffre, de ce qu'il veut et se lasse de ce qu'il a
Il pense souvent, des obsessions
Il meurt l'espace d'un instant
La mélancolie, la poésie, le spleen et autre idées colorées
Car le noir aussi est une couleur que l'on peint parfois
Je vois en gris et en nuance, en aura et en substance
Je perçois tout et aussi trop,
La sensibilité mon talon d'Achille
L'attachement déraisonné, ma vie au monde
Quel poids, quelle contrainte.
Je rêve ma vie, le jour je nuis, l'hiver la terre pleure sur nos cris
Je nous vois sombrer dans un abîme
Quand la terre hurle, mes griffes s'acèrent
Quand la terre perle, mes pleurs m'achèvent
Quand la vie part, mon corps m'échappe
Quand mon coeur tremble, mes yeux s'attristent
Je te l'ai dit, j'ai peur de rien, je ne crains plus rien
Je fonce toujours, j'accours, j'm'entoure
Mais au final, je t'ai menti,
Je crois bien que je crains l'oubli
On meurt tout seul au fond je sais
On ne vit jamais assez aimé
Il y en a qui disent beaucoup mais font peu
Moi j'écris beaucoup et je vis tout.
Commentaires
"Il y en a qui disent beaucoup mais font peu
Moi j'écris beaucoup et je vis tout."
Merki mon Fongi, tu as trop la classe !
mais je ne me permettrai pas lol
nan mais vraiment je reste sur ma position tu as un don lol
je t'aime ma tite koaline, et tu me manques bcp, trop ..