Ecrire sur une Rolls Royce
Il y a dans ma vie des gouttes d'eau majuscule.
Des sens cachés à mes écrits, des jeux de piste à suivre, des parcours qui se dévoilent.
Au fond un peu de mystère car c'est souvent ce qui excite la curiosité, l'envie.
L'envie c'est si proche de la vie, c'est ce qui nous éloigne de l'ennuie celui nous amène doucement vers la mort.
On révèle alors un peu de la vie chez l'autre quand enfin on arrive à allumer dans ce regard cette flamme intérieure.
La goutte d'eau d'aujourd'hui, elle glisse souvent en noir et blanc.
Elle en oublie ses talents, elle s'oublie lentement, elle a perdu l'envie surement.
Et puis un jour, en passant devant une boutique, elle s'arrête et elle rentre.
Elle doute mais elle tente, elle s'asseoit après un regard balayant la salle, après avoir choisi son arme.
Elle va se poser, couler vers l'instrument de son désir le plus ardent, ce petit quelque chose qui a allumé sa flamme.
Elle va toucher et fusionner son âme avec l'aisance des génies dont un seul contact révèle l'évidence de l'existence.
Enfin, elle créée et devient, elle inonde la salle, l'air, le monde de l'écho de ce bonheur. Les creux et les pleins, les courts et les longs, les lisses lignes un peu froides au départ.
Elle a envie de posséder, d'avoir à tout jamais la possibilité de recréer ce bonheur à l'infini, à volonté, la maîtrise de sa vie.
Je me demande alors à mon tour, si jamais cela m'arrive un jour, le bonheur qui me sera procuré d'écrire sur la rolls royce que j'aurai rencontré.
Des sens cachés à mes écrits, des jeux de piste à suivre, des parcours qui se dévoilent.
Au fond un peu de mystère car c'est souvent ce qui excite la curiosité, l'envie.
L'envie c'est si proche de la vie, c'est ce qui nous éloigne de l'ennuie celui nous amène doucement vers la mort.
On révèle alors un peu de la vie chez l'autre quand enfin on arrive à allumer dans ce regard cette flamme intérieure.
La goutte d'eau d'aujourd'hui, elle glisse souvent en noir et blanc.
Elle en oublie ses talents, elle s'oublie lentement, elle a perdu l'envie surement.
Et puis un jour, en passant devant une boutique, elle s'arrête et elle rentre.
Elle doute mais elle tente, elle s'asseoit après un regard balayant la salle, après avoir choisi son arme.
Elle va se poser, couler vers l'instrument de son désir le plus ardent, ce petit quelque chose qui a allumé sa flamme.
Elle va toucher et fusionner son âme avec l'aisance des génies dont un seul contact révèle l'évidence de l'existence.
Enfin, elle créée et devient, elle inonde la salle, l'air, le monde de l'écho de ce bonheur. Les creux et les pleins, les courts et les longs, les lisses lignes un peu froides au départ.
Elle a envie de posséder, d'avoir à tout jamais la possibilité de recréer ce bonheur à l'infini, à volonté, la maîtrise de sa vie.
Je me demande alors à mon tour, si jamais cela m'arrive un jour, le bonheur qui me sera procuré d'écrire sur la rolls royce que j'aurai rencontré.
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