Le monde est stone
Le monde est violent, c'est souvent ce que l'on entends.
Bien que le monde en soit, ne soit ni violent, ni bienveillant, il est tout simplement, il n' a pas d'intentionnalité, il réagit aux stimulis qu'il reçoit, il a un fonctionnement propre qui le pousse à la recherche d'un équilibre.
Les gens, les êtres humains par contre le sont, ou peuvent l'être. Surement, eux aussi sont à la recherche de cet équilibre mais qui, pour certains ne l'atteignent jamais.
C'est intrigant, c'est interrogeant, c'est dérangeant cette violence exprimée, visible. Réactionnelle, intentionnelle, pulsionnelle, quelle que soit la raison, le motif, le comportement, il interroge.
Il y a derrière ces réactions, une puissante tristesse, une certaine solitude et une insécurité permanente dans ce qu'elle induit ou dans ce qu'elle provoque. Un moteur cependant c'est un égoïsme sans faille.
Nous sommes remplis de failles, de doutes, faisant des erreurs mais ce qui permet de rompre ce cycle, de changer les choses, c'est l'altruisme, c'est l'empathie.
Pas pour celui qui subit, mais pour celui qui agit. Nous causons tous du tord à d'autres, volontairement ou non, consciemment ou non, à tord ou à raison mais ce qui permet d'avancer, de pardonner, d'améliorer les choses c'est cette conscience de ce que nous pouvons induire chez l'autre et cette humilité qu'il n'y a pas une vérité quand nous parlons des ressentis mais bien des réalités qui se chevauchent, qui s'affrontent, qui se longent ou se croisent.
En dehors des ressentis, des avis, des jugements, il y a les faits, les actes. Une autre partie du réél qui peut faire consensus, qui ne peut être nié sans induire un mensonge ou au moins qui peut être prouvé. Quand l'autre est trop différent, quand on ne se comprends plus, quand on n'est perdu, il y a toujours ce noyau, comme une bouée à laquelle on peut s'accrocher et s'approcher.
La première preuve d'humilité c'est surement d'accepter que l'autre puisse exprimer son ressenti, si différent et dérangeant pour soi, mais lui laisser cette liberté de dire et se laisser la liberté de dire.
Non dans une volonté de tout dévoiler, de tout exprimer ou d'exposer à tout va mais en ayant conscience de l'importance pour celui qui a osé prendre la parole de ce que celà peut lui coûter.
Bien que le monde en soit, ne soit ni violent, ni bienveillant, il est tout simplement, il n' a pas d'intentionnalité, il réagit aux stimulis qu'il reçoit, il a un fonctionnement propre qui le pousse à la recherche d'un équilibre.
Les gens, les êtres humains par contre le sont, ou peuvent l'être. Surement, eux aussi sont à la recherche de cet équilibre mais qui, pour certains ne l'atteignent jamais.
C'est intrigant, c'est interrogeant, c'est dérangeant cette violence exprimée, visible. Réactionnelle, intentionnelle, pulsionnelle, quelle que soit la raison, le motif, le comportement, il interroge.
Il y a derrière ces réactions, une puissante tristesse, une certaine solitude et une insécurité permanente dans ce qu'elle induit ou dans ce qu'elle provoque. Un moteur cependant c'est un égoïsme sans faille.
Nous sommes remplis de failles, de doutes, faisant des erreurs mais ce qui permet de rompre ce cycle, de changer les choses, c'est l'altruisme, c'est l'empathie.
Pas pour celui qui subit, mais pour celui qui agit. Nous causons tous du tord à d'autres, volontairement ou non, consciemment ou non, à tord ou à raison mais ce qui permet d'avancer, de pardonner, d'améliorer les choses c'est cette conscience de ce que nous pouvons induire chez l'autre et cette humilité qu'il n'y a pas une vérité quand nous parlons des ressentis mais bien des réalités qui se chevauchent, qui s'affrontent, qui se longent ou se croisent.
En dehors des ressentis, des avis, des jugements, il y a les faits, les actes. Une autre partie du réél qui peut faire consensus, qui ne peut être nié sans induire un mensonge ou au moins qui peut être prouvé. Quand l'autre est trop différent, quand on ne se comprends plus, quand on n'est perdu, il y a toujours ce noyau, comme une bouée à laquelle on peut s'accrocher et s'approcher.
La première preuve d'humilité c'est surement d'accepter que l'autre puisse exprimer son ressenti, si différent et dérangeant pour soi, mais lui laisser cette liberté de dire et se laisser la liberté de dire.
Non dans une volonté de tout dévoiler, de tout exprimer ou d'exposer à tout va mais en ayant conscience de l'importance pour celui qui a osé prendre la parole de ce que celà peut lui coûter.
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